Ce livre est très court et raconte à peine une histoire.
Mais la langue de Glykos est poétique, envoûtante, nous enveloppe de petites phrases, de petits faits.
Le livre nous parle de la vie confrontée à la mort, (il s'ouvre sur la mort du père, et s'achève sur l'euthanasie du chien), mais aussi de l'écriture, des mots et des maux, de la beauté, particulièrement de la Toscane, du recul devant la réalisation d'un rêve, des boîtes et de ce qui nous emprisonne... En un mot : de notre vie.
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