Philippe Claudel décrit son enfance auprès de son grand-père, le tenancier du Café de l'Excelsior dans un petit village.
Repère d'ivrognes ou îlot d'humanité. Au choix.
Comme on dit, voilà qui fleure bon cette vieille France provinciale, celle d'il y a maintenant une ou deux générations.
Mais le ronronnement savoureux de ces textes appliqués finit par résonner comme celui d'une dictée scolaire.
Un peu comme si la mécanique trop bien huilée de cette prose que l'on devine ciselée et polie avec amour finissait par tourner un peu à vide ...
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