Malgré quelques longueurs au basculement des deux parties du roman, celui-ci se lit comme un feuilleton d'aventures, en visitant nombres de lieux et en balayant les périodes et les personnages les plus divers ; des crapules aux héro(ine)s. L'écriture semble facile, évidente, c'est plutôt qu'elle ne s'abandonne pas à la retenue. Il est difficile de ne pas éprouver d'empathie pour le narrateur, ballotté, cabossé par l'auteur !
Ce roman s'inscrit dans la lignée du "Club des incorrigibles optimistes" et de "La vie rêvée d'Ernesto G."
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