J'étais à la fois curieuse et inquiète du traitement que Paasilinna ferait d'un tel sujet. Sans le prendre totalement à la légère, il y instille toutefois sa célèbre fantaisie et le roman en pétille du début à la fin, et, si l'on ne s'esclaffe pas, le sourire est bien présent.
Au début, j'avais la tête pleine d'objections et de points d'interrogation, mais pressentant la fin, je me suis alors laissé promener dans l'autocar de Korpela en tout confiance.

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