[L'Epée de Vérité, Tome 1 : La première leçon du sorcier | Terry Goodkind]

Ca commence un peu comme la Communauté de l'anneau.

Une quète : protéger le monde de la destruction.

Une communauté composée de différents personnages, différentes castes : l'Inquisitrice, un personnage "religieux" doté de pouvoirs incommensurables qui ne peut pas faire de calins sans transformer son aprtenaire en zombie soumis, le Sourcier, personnage trouble détenteur de l'Epée de vérité, à ne pas confondre avec le Sorcier, un brave petit vieux qui parle aux nuages (irrésistible, vous souvenez vous de Tortue géniale, dans le manga Dragon Ball ?), un gros balèze ou Ranger qui tape sur les méchants, une chamane un peu zarbi, une petite fille sans défense qui se ballade avec sa miche de pain...

Parmi les méchants, nous avons des reines et des princesses cruelles, un frère felon, un genre de gollum et son précieux, une devineresse diabolique, des guerrières sado-maso, des sous fifres sans cervelle, des montres abominables, des fantômes... bref le bestiaire commun à la fantasy.

Mais surtout, surtout, il y a le méchant, le SUPER MECHANT. C'était l'argument number one de mon collègue Sébastien pour me faire lire ce livre. Tu vas voir le méchant il est ABOMINABLE.

Donc lisez l'épée de vérité, qui est très drôle, palpitant, intelligent, bien traduit, avec un méchant ABOMINABLE.

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oh oui c'est bon les méchants abominables