Quatrième de couverture :
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Qui écoute les mots de nos désirs, de nos espoirs, de nos passions ?
Dans un Paris où se croisent chaque jour des êtres qui s'ignorent et s'esquivent, Andrea, un jeune prêtre sans paroisse, pratique l'art de la confession. Il se rend dans les escaliers d'immeubles, les bars, les endroits où se dévoilent les rêves des gens. Se versent alors en lui comme en un cérémonial, d'intimes confidences : la voix perdue des hommes.
Il y a Milos, peintre d'Europe centrale qui cicatrise les blessures de l'exil en photographiant son inexorable vieillissement ; Luis, l'aveugle, amoureux de Lena, une prostituée qui n'ose lui avouer qu'elle hante les trottoirs de la périphérie ; Ismalia, une beurette infirmière, "frêle parmi les frêles, luciole des cités", qui cherche l'homme à étreindre ; Frédéric, le frère d'Andrea, qui ne croit qu'à la valeur des corps et à leur commerce ; Mathilde enfin, l'amour interdit. Il y a aussi Paris, où les nuits s'enchaînent aux jours, où se lève un vent de sable ocre, un pollen urbain.
Mon avis :
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J'ai trouvé des petites pépites dans ce roman très (trop ?) poétique. Des passages, des phrases, ont tinté agréablement à mon oreille. Mais l'ensemble m'a laissée froide, comme si le livre et moi ne vibrions pas sur la même longueur d'ondes...
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