Mon deuxième livre de De Souzenelle, que je m'étais promis de lire (puisque acheté) malgré la déception à la lecture du premier (le féminin de l'être).
Dans celui-ci, mon rapport a été tout autre : même s l'écriture est la même et parfois les concepts posés un peu trop farfelus pour moi, le symbolisme et la justesse de l'intuition de l'auteure quant à ce qui se passe dans le monde intérieur de Job me parle beaucoup et m'aide à avancer dans mon cheminement. Ce que le féminin de l'être n'avais pas réussi à faire.
J'ai donc beaucoup apprécié cet outil.
Quatrième de couverture
De tout temps, juifs et chrétiens - et, en ce siècle, des psychologues comme Carl Gustav Jung - se sont interrogés sur le Livre de Job. Cette oeuvre troublante aborde si directement l'absurdité du Mal que l'on a pu remettre en cause son origine, voire sa place dans le canon biblique. Annick de Souzenelle éclaire ce récit d'un jour nouveau, avec les outils qui font toute l'originalité de sa démarche : racines des mots hébraïques, psychologie des profondeurs, lecture symbolique et mythologlique, théologie chrétienne. La " descente aux enfers " de Job, un juste accablé par Satan avec la permission divine - permission qui, précisément, fait scandale -, devient alors un véritable chemin initiatique. L'auteur du Symbolisme du corps humain nous fait découvrir les étapes successives de cette initiation qui conduit Job vers la mort définitive du " vieil homme " en lui et l'élève vers la Lumière.
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