avec Jonquet, ça ne rigole pas. c'est comme avec Johnny: noir c'est noir... et y a vraiment plus (mais alors plus du tout) d'espoir.
sans dévoiler l'intrigue, il est question du pire.
je dévoile un peu le sujet car la quatrième de couv est peu prolixe.
l'équipe de l'inspecteur Rovère et du juge Lintz (héros des orpailleurs) se trouve confrontée au pire après la découverte de quatre cadavres d'enfants brulés vifs dans une maisosn abandonnée de la porte de la chapelle.
un Jonquet dans lequel j'ai eu un peu de mal à rentrer et ce n'est qu'à partir de la moitié que l'intrigue décolle et s'accélère.
une fois accroché (+ ou moins vite selon le cas), c'est un livre qu'on dévore...
en outre on y retrouve les thèmes chers à cet auteur. critique de notre société, désillusion consécutive à l'effondrement du bloc soviètique, impuissance des pouvoirs publics...
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