Il ne faut pas non plus culpabiliser de lire de temps en temps quelque chose de léger ! Les livres de chicklit que j'ai lus se comptent sur les doigts d'une seule main, mais quand ils m'ont fait rire, j'étais contente de les avoir lus (j'ai fait
une note sur celui-là en avril 2008, mais elle n'apparaît pas sous la tienne).
Il manque certes de littérarité mais ce n'était clairement pas l'objectif de son auteur. Les auteurs ridicules, ceux qui méritent vraiment qu'on les éreinte, sont les écriveurs de bluettes qui attendent le Prix de l'Académie française ou le Nobel de Littérature et s'offusquent de ne pas le recevoir. Les autres sont d'honnêtes artisans de bons moments.
Tout au plus ai-je souri de retrouver le fiancé idéal, selon l'auteur : le cuisinier, obligatoirement bien ancré dans le réel, les vrais vilains garçons étant les grands superficiels de la mode, de la pub, de la comm', et s'ils ont de l'argent pas gagné à la sueur de leur front, alors là, grrrrr !