Résumé:
Une après-midi d'hiver, à sa fenêtre, une jeune femme observe la ville. Pour la première fois, son regard est serein. Veronika vient d'avaler quatre boîtes de somnifères. Elle ne veut plus subir l'insupportable monotonie des jours et l'angoisse des nuits. À l'hôpital psychiatrique où elle se réveille, elle apprend que sa mort n'est retardée que d'une semaine. Durant ce sursis, elle fait la connaissance de Zedka, la rêveuse philosophe, de la douce Maria et de son syndrome de panique, et surtout d'Eduard, le schizophrène mélomane, qui écoute la jeune femme des nuits entières lorsqu'elle joue au piano. Peu à peu s'élève en Veronika le désir nouveau de se livrer, "à un homme, à la ville, à la vie".
J'ai mis un peu de temps à lire ce livre car avec mon travail c'est pas évident... mais bon j'y suis arrivée et ce livre m'a un peu réconcilié avec l'auteur. J'ai trouvé le thème de ce roman et l'avancement de l'histoire très intéressants. Cependant dans ce roman j'ai trouvé que l'auteur était un peu trop moralisateur avec la vie. En effet on sait que la vie est importante, qu'il faut en profiter, etc... on a l'impression qu'il sait comment trouver le bonheur sans nous donner les pistes... car la vie n'est pas toute belle et toute rose (faut pas se voiler la face quand même!)
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