Comme dans tous les romans de Meyrink (tous lus vers cette époque), j'ai eu le sentiment que la réussite d'une oeuvre de littérature fantastique, ou ésotérique sérieuse, se fonde à la fois sur la culture de l'auteur et sur sa capacité à ne pas tout dévoiler...
Dans les deux Meyrink est un maître, comme Mircea Eliade par ex.
V. aussi Le Dominicain blanc, Le Visage vert, Le Golem, La Maison de l'alchimiste...
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