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Les notes de lectures recherchées

7 livres correspondent à cette oeuvre.

Il y a actuellement 7 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).

Notation moyenne de ce livre : (7 livres correspondant à cette oeuvre ont été notés)

Mots-clés associés à cette oeuvre :

[Tex Almanacco del West 2009, 16, Capitan Blanco | Gianl...]
Auteur    Message
Franz



Sexe: Sexe: Masculin
Inscrit le: 01 Déc 2006
Messages: 1972
Localisation: Nîmes

Posté: Mer 09 Nov 2016 20:30
MessageSujet du message: [Tex Almanacco del West 2009, 16, Capitan Blanco | Gianl...]
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Capitaine Blanco
Tex Willer et Kit Carson se rendent à Fort Thomas qui est sous le commandement du colonel Henderson. En piste, ils croisent le lieutenant Scott Henderson, frais émoulu de l’école militaire de West Point. Ils cheminent jusqu’au camp militaire où ils sont reçus par le père de Scott. Ce dernier décide de mettre immédiatement son fils à l’épreuve sous prétexte que lui-même, dans sa jeunesse, a obtenu ses véritables galons au front. Le lieutenant devra diriger un détachement de cavalerie afin de combattre le redoutable chef comanche Capitan Blanco. D’abord décontenancé, le lieutenant se ressaisit et accepte sa dangereuse mission. Les rangers sont sceptiques quant à la réussite de l’entreprise. Les Comanches sont des guerriers redoutables qui connaissent les moindres recoins du désert pour en tirer avantage. Les rangers quant à eux décident d’aller démanteler le réseau des trafiquants d’armes, pourvoyeurs des razzieurs comanches. Les soldats sont attirés dans une embuscade meurtrière et Scott Henderson est en état de choc face à la brutalité des combats, incapable de prendre la moindre décision.
La 16e livraison annuelle de l’Almanach de l’Ouest se révèle à nouveau comme une parution de fort bonne tenue où les dossiers en couleur consacrés aux guerriers samouraïs dans les westerns, à Wyatt Earp, à l’écrivain et scénariste Borden Chase (1900-1971), aux parutions de l’année 2009 (livres, films, vidéos) à propos du western encadrent une bédé noir et blanc scénarisée par Claudio Nizzi et dessinée par le grand Manfred Sommer (1933-2007) qui a dû passer entretemps l’arme à gauche et la main à Leomacs dès la page 125 qui réalise à son tour les vingt dernières planches dans un style proche, sans imperfection notable mais sans le brio du dessinateur espagnol. A quoi tient la classe ? Manfred Sommer est un dessinateur hors pair, connu des spécialistes pour sa création Frank Cappa parue en 4 volumes aux Humanoïdes Associés. Il aura splendidement réalisé trois aventures de Tex Willer.
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Auteur    Message
Franz



Sexe: Sexe: Masculin
Inscrit le: 01 Déc 2006
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Posté: Mar 06 Sep 2016 18:11
MessageSujet du message:
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Le dernier escadron.
A l’extrême sud de l’Arizona, les ranchs sont incendiés et les familles décimées par les Apaches sortis de la réserve de San Carlos et menés par Shako. Tex Willer ne peut que constater l’assassinat de la famille Kruger. Connaissant les familles de colons et leurs implantations dans le secteur, il se rue sur la ferme de John McCrea afin de les prévenir ou de leur prêter main forte. Epié et pris en chasse par trois guerriers Apaches, le ranger est retardé dans sa chevauchée mais il parvient finalement aux abords du ranch assiégé par des cavaliers Apaches. Les colons résistent rudement mais déjà les flèches incendiaires viennent les mettre au plus mal.
Suite aux brutalités de la soldatesque, les Apaches ont vivement réagi et quitté en hâte leur réserve, guidé par Maguas, un chef avisé, afin d’éviter les mesures répressives et radicales des militaires. Tex Willer devra convaincre les belligérants de choisir la voie diplomatique plutôt que la guérilla mais un escadron mené par le lieutenant Parker se rapproche. Parker, malgré ses bonnes intentions, ne peut contrevenir à un ordre de son colonel. Shako a convaincu les Apaches de Maguas d’engager la lutte armée. Le ranger ne sait que faire afin d’éviter le suicide collectif. Rallier Fort Bowie et obtenir un contre-ordre prendrait trop de temps. La tuerie programmée semble inéluctable.
Superbe récit imaginé par Claudio Nizzi, un des scénaristes phares de la série, l’histoire met Tex Willer dans un mouvement pendulaire et précipité, entre le lieu de la bataille et les zones de renfort. Miguel Angel Repetto, dessinateur argentin descendant de migrants italiens, est un orfèvre en la matière. Son trait ailé posé sur de beaux aplats noirs et serti dans un réseau de fines hachures met en place des compositions admirables, dynamiques, élégantes. L’almanach datant de 2002 est accompagné de dossiers conséquents sur les patriotes et l’armée britannique en Amérique ainsi que sur l’acteur emblématique James Stewart.
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[Tex Almanacco del West 2014, 21, I rapitori | Gianluigi...]
Auteur    Message
Franz



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Posté: Ven 11 Sep 2015 18:06
MessageSujet du message: [Tex Almanacco del West 2014, 21, I rapitori | Gianluigi...]
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Les ravisseurs
Une rivière impétueuse du Wyoming entraîne un homme à la dérive. Tex Willer découvre le drame et tente de l’extraire d’une noyade assurée. Revenu sur la berge, Tex voit une blessure par balle au flanc du mourant qui a le temps de révéler dans un râle le lieu où il a été piégé avec un compagnon. Arrivé sur place, Tex est pris à partie par le shérif qui découvre l’assassinat. Remettant les pendules à l’heure et les fusils à terre, le ranger se fait entendre du shérif et de ses adjoints. Il leur lit le billet poignardé sur le charriot revendiquant le kidnapping de Jimmy Parker, fiancé de Margaret Morton, fille énamourée d’un riche propriétaire terrien. Une rançon est exigée contre la vie du bellâtre.
La partie qui va se jouer avec les ravisseurs est perverse et retorse. Tito Faraci a modifié le canevas classique du kidnapping et lui redonne du lustre. Orestes Suarez dessine précisément. Ses jeux de hachures densifient chaque image. Les expressions des visages traduisent remarquablement les sentiments des personnages. De superbes cadrages rendent les duels criants de douleur et de vérité. La sueur perle, les balles jaillissent, perforant le cadre, projetée sur des cibles humaines en mouvement.
Comme à l’accoutumée, l’almanach à parution annuelle recense en préambule l’actualité livresque, vidéo, télévisuelle et cinématographique autour du western en une trentaine de pages illustrées en couleur. La bédé en noir et blanc occupe la partie centrale sur une bonne centaine de pages puis sur une autre trentaine de pages couleur un dossier est consacré à l’ange au pistolet, l’acteur Giuliano Gemma puis à l’ultime bataille livrée par Taureau Assis et enfin à la place du cheval dans les westerns. L’almanacco 2014 est à nouveau un excellent cru qui pourrait se substituer à un Niagara de bière en accompagnement d’un énorme beefsteak et d’une montagne de frites, con mucho gusto !
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[Tex Almanacco del West 2015, 22, Scure nera | Gianluigi...]
Auteur    Message
Franz



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Posté: Mer 03 Juin 2015 21:04
MessageSujet du message: [Tex Almanacco del West 2015, 22, Scure nera | Gianluigi...]
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Hache Noire
Richard Strong est un bandit que hante la disparition de sa famille massacrée par des Indiens. Il est obsédé par la vengeance. Lors de l’attaque de la ferme, Strong, jeune garçon, n’a dû son salut qu’à son aisance à monter à cheval et à la vélocité de son appaloosa. Devenu adulte, il revoit dans des cauchemars récurrents la hache noire qui a tué son père. Strong est un bandit singulier, soigné de sa personne, tueur de sang froid, tortionnaire d’Indiens, prêt à tout afin de dénicher le chef de la bande d’Indiens à l’origine de la débandade de sa vie. Sa piste, jonchée de cadavres d’Indiens Hopis, est suivie de près par Tex Willer et Kit Carson désireux de mettre fin aux massacres.
En 2015, les éditions Bonelli proposent une 22e livraison annuelle de leur almanach de l’Ouest recensant les parutions multimédias relatives au western ainsi que plusieurs dossiers tout en couleur, sur les écrivains indiens, Zorro et les vengeurs masqués, le scénariste et réalisateur italien Sergio Corbucci (1927-1990) connu pour deux westerns majeurs, Django (1966) et Le grand silence (1968). Le cœur de l’almanach est consacré à une aventure de Tex Willer en 109 pages noir & blanc, scénarisée par Pasquale Ruju et dessinée par Sandro Scascitelli. Le récit de Ruju est bien construit, jouant sur plusieurs temporalités avec flash back dévoilant peu à peu la damnation d’un innocent, en l’occurrence le jeune Richard Strong. Les rangers se rendent compte, au rythme de leurs découvertes macabres, de l’opacité du personnage et de la tragédie qui se déploie, se révélant à la toute fin dans sa sinistre dimension. Le graphisme du dessinateur italien Sandro Scascitelli n’est pas toujours convaincant quand il rigidifie les visages sous un entrelacs de hachures arachnéennes et plaque des expressions peu communicatives. Pourtant, le dessin fouillé, structuré avec de beaux aplats noirs et peaufiné avec de fins réseaux de hachures se révèlent souvent très beau notamment dans la représentation des paysages. Davantage qu’un virtuose du fumetti, Sandro Scascitelli apparaît comme un éblouissant illustrateur.
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[Tex Almanacco del West, 14, Polizia Apache | Gianluigi ...]
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Franz



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Posté: Sam 02 Mai 2015 12:02
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Police Apache
Dans le nord du désert de l’Arizona, le vieux Natan et sa femme vivent hors de la réserve chiricahua de Warm Springs. Ils vont subir l’interrogatoire musclé et vicieux de deux Apaches appartenant à la police tribale. Natan est le père de Bonito, un des fuyards de la réserve accusés d’avoir empoisonné les puits de la réserve indienne, entraînant la mort de nombreux Indiens dont les parents de Salgado, chef de la police apache. Salgado a juré de se venger et d’appliquer la justice des Blancs mais ses affidés n’ont pas tous la même conception de la justice. Tex Willer intervient à propos, empêchant les tortionnaires Apaches de nuire. Salgado, nanti de sa veste yankee, apparaît après l’altercation entre le ranger et l’Apache. Il demande fermement à Tex de ne plus se trouver sur sa route mais le ranger veut faire la lumière sur cette sordide histoire d’empoisonnement. Il ne croit nullement en la culpabilité des fuyards Apaches car leurs motivations sont incompréhensibles. Il préfère se tourner vers l’agent fédéral responsable de la réserve, le dénommé et fringant Farrell, amoureux de l’ordre et du luxe. Il s’est adjoint les services d’un pistoléro irascible, Billy Joe. Accompagné par une vieille connaissance de la réserve indienne, Loup Gris, Tex commence à démailloter l’imbroglio mais outre la ténacité de Salgado et de ses nombreuses aides, le ranger devra s’approcher des rebelles Apaches menés par Klanay, cousin de Salgado, stopper une lutte fratricide, combattre les Mexicains à la solde de Farrell, lui-même en cheville avec un rancher mexicain sans scrupule. Autant dire que la situation est délicate et exige de la tactique, des muscles et de la persuasion.
Une nouvelle fois, l’Almanach de l’Ouest, à parution annuelle, se révèle être très intéressant. Il compile en pages liminaires en couleur toutes les parutions de l’année 2007 (livres, films, vidéos) sur le western. S’ensuivent 109 pages en noir & blanc scénarisées par Mauro Boselli et dessinées par Ernesto Garcia Seijas. Une nouvelle fois, le tandem fonctionne au mieux. Seijas donne beaucoup d’allure aux Apaches, Salgado comme Klanay ou Loup Gris. Son trait efficace et expressif, cernant les visages, s’appuyant à bon escient sur les trames, les hachures et les aplats donne vie à une histoire pleine de chausse-trapes où les Blancs et les Indiens échappent aux stéréotypes. Les vingt dernières pages couleur de l’Almanach proposent un dossier sur l’acteur Glenn Ford puis sur l’écrivain et scénariste américain de policier et de westerns Frank Gruber (1904-1969) et termine par un portrait du prolifique scénariste italien Mino Milani.
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[Tex Almanacco del West, 20, La pista di fuorilegge | Gi...]
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Franz



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Posté: Mer 11 Fév 2015 14:12
MessageSujet du message: [Tex Almanacco del West, 20, La pista di fuorilegge | Gi...]
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Ozzie Johnson, jeune et beau trentenaire, coiffé d’un melon seyant, est un bad guy, chef d’une bande d’outlaws recherchée par les rangers. Tex Willer, Kit Carson et Tiger Jack ont surpris une partie des hors-la-loi mais le gros de la troupe erre encore dans le désert, à la recherche d’un coup facile. Les desperados se dirigent vers la petite ville de Clifton qui vivote en exploitant une mine de cuivre. Ozzie fait le joli cœur tout en pillant la banque pendant que deux de ses sbires sont partis immobiliser les mineurs, en amont de la cité. L’opération pourrait être juteuse et facile mais une bande d’Apaches aguerrie et déterminée a décidé de faire main basse sur Clifton. Les rangers débarquent dans une souricière pétaradante.
En 2011, le dessinateur argentin Carlos Gomez s’attaquait au mythique ranger dans un Tex spécial intitulé « Vers l’Oregon » sur scénario de Gianfranco Manfredi et il était déjà éblouissant de maîtrise même s’il n’arrivait pas vraiment à restituer au mieux le visage du ranger. Ses paysages étaient tout simplement époustouflants. En 2013, il récidive dans l’Almanacco del West avec une histoire diablement scénarisée par Mauro Boselli. Le récit pourrait se résumer à une traque de bandits en action mais l’arrivée des Apaches révèlent les personnages, capables du pire et du meilleur dans des situations critiques. Carlos Gomez est extraordinaire. Son dessin précis, nerveux, expressif, magnifié par de superbes hachures restitue toute la gamme des expressions humaines mais il sait faire sentir la pluie et la boue, le soleil et la poussière, la nuit et les flammes. Il n’y a plus qu’à espérer que cet immense dessinateur reprenne les pinceaux et s’attaque à un nouveau Tex car il se situe d’emblée parmi les meilleurs dessinateurs dans le genre.
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[Tex Almanacco del West, 13, Mescalero Station | Gianlui...]
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Franz



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Posté: Mer 03 Déc 2014 10:40
MessageSujet du message: [Tex Almanacco del West, 13, Mescalero Station | Gianlui...]
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Dans la région de Carrizo du désert de l’Arizona, près de la frontière mexicaine, le ranger Tex Willer aperçoit la fumée d’un incendie. Il découvre une ferme assiégée par un groupe d’Apaches armé de winchesters et de flèches incendiaires. La famille résiste vaillamment mais les Indiens les déciment. L’intervention salutaire de Tex ne fait que différer l’attaque. Il va escorter les survivants, le jeune Tommy et son grand-père John Brigham, jusqu’à Mescalero Station, bâtiment isolé mais protégé d’une enceinte. Les rebelles Apaches échappés de leur réserve et menés d’une main de fer par leur chef bossu Jorobado s’acharnent alors sur Mescalero Station car ils ne veulent pas que leurs crimes et leur fuite parviennent jusqu’aux soldats de Fort Apache. Pour les courageux assiégés, l’enfer leur ouvre sa gueule béante et grimaçante.
L’histoire pleine de péripéties et de combats laisse peu de survivants. Les Apaches montrent une constance et une détermination sans faille. Jorobado est nourri de haine. Dix ans plus tôt, l’immense dessinateur espagnol Jose Ortiz réalisait Mescaleros (1998-1999), une aventure haut de gamme du ranger texan, en 332 pages, scénarisée par Mauro Boselli. En 2006, âgé de 74 ans, Jose Ortiz a simplifié son dessin, privilégiant le trait vif et aigu, délaissant la matière à travers un encrage moins dense. Si le lecteur connaisseur ne retrouve plus complètement la puissance graphique originelle, il peut néanmoins apprécier quelques superbes planches ou cases quand par exemple Dolores se penche au-dessus du lit de Tommy (p. 72) ou encore l’entrée de Tex et Tommy dans un canyon (p. 116). Le décès récent de Jose Ortiz le 23/12/2013 est un crève-cœur pour tous ses aficionados. Reste une œuvre forte, abondante et goûteuse à redécouvrir. Les anthologies publiées en ce moment par Délirium permettent de retrouver avec bonheur nombre d’auteurs époustouflants tombés dans l’ombre et l’oubli (Gene Colan, Jose Ortiz, Bernie Wrightson, etc.).
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