Pénélope, jeune diplômé, vient d'être nommée conservatrice adjointe au musée de Bayeux où est exposée la célèbre Tapisserie (qui est fait est une broderie) de la reine Mathilde représentant la bataille d'Hastings en 1066 qui oppose Guillaume le Conquérant au roi Harold.
Lorsque sa directrice est victime d'une tentative de meurtre et qu'elle-même se fait gifler en pleine rue, Pénélope, aidée de son ami Wandrille, va enquêter sur la Tapisserie qui semble inachevée ou dont les trois derniers mètres ont disparu depuis le Moyen-Age.
Sur un rythme enlevé, l'auteur distille un grand nombre de détails artistiques et historiques dans lesquels Napoléon tient une place importante.

!Et si la tapisserie de Bayeux (XIème siècle) était un faux du XIXème siècle? Et si la Reine d'Angleterre n'était qu'une usurpatrice? Où sont les trois derniers mètres de la tapisserie et que représentaient-ils? Que de questions que notre narrateur va devoir répondre. Le livre est bien écrit, j'ai eu du plaisir à retrouver les rues de Bayeux que je connais bien. L intrigue est menée d'une façon burlesque.

Nous sommes en 1997, Diana va mourir, Pénélope Breuil vient d'être nommée conservatrice adjointe au musée de la Tapisserie de Bayeux. Elle est passionnée par l' Egypte copte.

La conservatrice vient d'être agressée, Pénélope a été victime d'un vol. Son ami Wandrille l'aide à mener son enquête.Derrière le roman se cache une succession de vérités artistiques et historiques qui font que le lecteur apprend autant qu’il se détend.



La star de l' Histoire est la Tapisserie de Bayeux . Le lecteur s'interroge : où est la vérité ?

Ce fut une lecture récréative . Une comédie qui donne envie d'en savoir plus sur la tapisserie de Bayeux, sur la Normandie et une île anglo-Normande.

Un petit livre agréable à lire, plaisant aussi pour les amateurs d'art.

J'ai beaucoup aimé car l'intrigue se passe dans un musée ; même si je ne suis pas une passionnée de l'histoire de Guillaume le Conquérant, la recherche historique m'a intéressée ainsi que les références à l'Egypte copte, aux tissus utilisés par les embaumeurs. Cela fait référence à Dominique-Vivant Denon (le fondateur du musée du Louvre et le découvreur de l'Egypte sous Napoléon Bonaparte) et d'une mystication qu'il aurait faite à la demande de l'empereur sur la dernière partie (trois mètres quand même !) de la tapisserie représentant la bataille d'Hastings entre Guillaume le Bâtard, Normand, en 1066 et Harold, l'Anglais, pour le trône d'Angleterre avec des références à Edouard VIII, Wallis Simpson, Lady Di... On survole trois époques bien distinctes et j'ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture. Je pense que je l'achèterai en poche.