Dans la Russie de la fin du XIX° siècle, Eraste Fandorine est un jeune homme qui a perdu ses parents. Après avoir connu l'opulence pendant son enfance, le voilà contraint d'exercer le métier de policier pour subvenir à ses besoins. Il enquête sur un suicide suspect, et va découvrir petit à petit l'existence d'une association secrète construite autour du personnage mythique d'Azazel, l'ange déchu. Le roman est riche en rebondissements, le ton est léger, parfois même humoristique, on y retrouve les outils caractéristiques de la littérature du XIX° siècle : expériences scientifiques, portes dérobées, messages codés, spectres vaporeux…Je me suis vraiment attachée à ce jeune enquêteur et je me réjouis de lire la suite.

Ca se lit vite, ça n'a pas grand intérêt et l'époque (XIXème) aussi bien que les lieux (Russie) impriment très peu leur marque sur le texte.
De la littérature de gare ou de plage

Encore un bon petit roman policier historique !
Eraste est un tout jeune homme, qui débute dans son métier de policier dans la Russie du XIXe siècle. Au départ cloîtré dans son bureau à recopier des lettres administratives, il se retrouve propulsé sur le terrain.
On avance dans l’enquête avec lui, on le voit s’enflammer pour telle ou telle explication, mais l’histoire est toujours pleine de rebondissements.
Fandorine est attachant, il y a quelques petits passages plutôt amusants, et en plus le style est vraiment agréable. La fin est pour le moins surprenante !!
Il y en a à foison, des séries policières historiques ; je suis bon public pour ce genre-là, donc je ne vous étonnerai pas en disant que je lirai volontiers d’autres histoires de Fandorine si j’en ai l’occasion.