A la fin du 19e siècle un bourgeois hollandais miné par la tuberculose s' établit à Bloemfontein, Etat libre d Orange à l'époque , afin de contrer sa maladie par le climat sec et chaud du pays.
J'ai mis quatre semaines pour venir à bout de ce roman. Hypocondriaques,angoissés par l'idée de la mort ,broyeurs de noir,fuyez ce livre ! maintenant que je l'ai terminé je mesure le courage qu'il m'a fallu pour le reprendre soir après soir,ou en pleine nuit (insomnie...). Karel Schoeman est certainement un grand écrivain (il est comparé à Coetzee), mais le plus pessimiste des écrivains russes peut ètre considéré comme un gai luron par rapport à lui.Tout le roman n est qu'une rumination sur la mort,la disparition,le sens d une vie,l'irrémédiable solitude de tous les ètres humains... ponctué parfois sur des considérations sur la curiosité que représente une civilisation européenne transplantée dans ce pays improbable.
Un livre qui m'a rendu neurasthénique.

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Faute de me donner envie de le lire (encore que ma curiosité soit au summum !), cette note de lecture donne le sourire. Merci !