Le récit et les errances d'un jeune homme dans les rues de Tanger puis celles de Barcelone, durant le printemps arabe.
Ce livre de Mathias Enard m'a un peu déçue : je n'y ai pas retrouvé la poésie, l'art de peindre les choses de la vie quotidienne que je lui avais trouvé dans d'autres de ses œuvres. Je ne pense pas garder un souvenir quelconque de Rue des Voleurs.
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