[Le prince philosophe. Conte oriental 1792 | Olympe de Gouges]
Je me suis rendu compte que mon volume n'était que le premier tome de l'œuvre et je n'ai pas tellement envie de lire la suite... mais le ferai.
Cela s'annonce comme un conte philosophique dans la grande tradition du XVIIIème ; très vite, je reconnais un peu de Candide, beaucoup de Zadig, allez, un peu de Fénelon piqué au XVIIème, puis l'auteur me paraît oublier sa démonstration et se complaît dans le récit des amours des princes, rois et reins, plus excitée par le
people et la description des pompes que par l'art de régner en despote éclairé. Je constate que l'esclavage y a sa place et j'ai du mal à rapprocher ce texte de la place que prit O. de Gouges dans la Révolution française.
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